L'affaire de la censure "Bretons"

Les remous se calment peu à peu. Nous allons pouvoir revenir sur les évènements de ces derniers jours.

L'histoire concerne le magazine "Bretons" édité par le groupe de presse Ouest France.

Il y a quelques jours nous apprenions que le prochain magazine "Bretons", à peine sortie du tirage et envoyer en stockage avant distribution, faisait l'objet d'une demande de retrait. Une demande émanant du Ouest France.

La raison officielle évoquée par le Ouest France "une erreur technique dans le cahier d'impression". Mais rapidement l'affaire à révélée sa vrai nature : un flagrant délit de censure.

A l'origine de cette "mascarade" du Ouest France, un sondage concernant les bretons et leur position face a l'indépendantisme. Sur la une du numéro de février de "Bretons" devait à l'origine apparaître ce sondage exclusif "18% des bretons seraient pour l’indépendance" (source IFOP)

Avec plus de 5 millions de bretons cela donne près d'un million de partisan de l'indépendance. Un chiffre qui à fait peur à l’oligarchie qui fait tout pour que la Bretagne garde la tête sous l'eau.

A la place de cette une très "controversée", le magazine Bretons proposait un autre sondage : "69% des Bretons ignorent leur histoire".

Grâce à des sites d'information comme http://7seizh.info, la censure est passée de l'ombre à la lumière. Cela à pris une telle ampleur que le groupe Ouest France s'est senti "obliger" de faire paraître le fameux sondage polémique.

Le magazine est donc sortie avec le sondage concernant l'indépendance. Ce n'est pas la première fois que le groupe Ouest France censure les informations, préférant de loin courber l’échine et changer de cap face à une information qui dérange, plutôt que de faire honneur à ce métier de journaliste en délivrant la vrai info.

Hors polémique, la rédaction de BlogArVro souhaite mettre en relation les deux sondages sorties dans cette affaire.

"18% des bretons seraient pour l’indépendance" et "69% des Bretons ignorent leur histoire"

En réalité le faible chiffre du premier dépend du second. Si on ne enseigne pas notre culture, si on nous cache les informations essentielles, si on nous empêche même de parler notre propre langue, si on place des dirigeants régionaux qui ne croient ni en notre culture, ni en notre langue, il est normal que notre peuple ai du mal a trouver ses repères. Ceci dit, malgré toutes ces entraves, la Bretagne garde le cap en bonne terre de marin.
Comme on le dit chez nous "Breizh Atao" ! (Bretagne toujours)

Galahan Ty Kez

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